L'agriculture littorale a façonné ce paysage jusque dans les années 1970. Prairies de fauche, pâturages et cultures se répartissaient alors l'espace.
L'abandon progressif de la gestion des parcelles par les agriculteurs a engendré une menace pour la biodiversité du site. Ainsi pour pallier la déprise agricole, soutenir l'agriculture locale et éviter la fermeture du paysage par les saules, des conventions ont été passées avec des agriculteurs.
Dans ce cadre, du bétail pâture des prairies et marais et des fauches sont réalisées chaque année, selon un des cahiers des charges.
Trois agriculteurs sont impliqués dans la démarche à Guissény et se partagent 90 ha de prairies.